Les bébés nageurs

Voilà un mois que nous allons aux bébés nageurs, et c’est vraiment une chouette activité !

Motivations

Personnellement, je nage comme une clé à molette… Je sais nager, mais je ne suis pas à l’aise dans cet élément, et je ne voulais pas que mon fils vive ça.

Mais c’est également une activité motrice intéressante pour le développement et un moment de partage avec son enfant. On s’amuse, on ri, on le rassure…

A prévoir

Voici les articles nécessaires :

bébés nageurs matériel

Budget : 50 euros environ chez Décathlon

  • pour bébé :
    • un bonnet de bain
    • une couche de bain
    • un maillot de bain (qui tient fermement la couche)
    • un drap de bain (j’ai acheté le petit drap en micro-fibre chez Décathlon)
    • une serviette pour poser sur la table à langer
    • une couche propre pour le change
    • la sucette
  • pour maman :
    • un bonnet de bain
    • un maillot de bain (préférez le une pièce plus pratique)
    • un drap de bain (j’ai acheté le grand drap en micro-fibre chez Décathlon)
    • des claquettes si comme moi vous êtes douillette pour poser les pieds nus par terre…
    • une pièce de 1 euro pour le casier

Conseils

Pour l’inscription, ne tardez pas, car la demande est importante, et l’offre encore peu développée parfois…

La plupart des parents y vont à deux, ce qui permet de se passer l’enfant pour se changer. Une maman solo ira donc avec le maxi-cosy… et profitera des cabines « handicapés » pour se changer…

Habillez-vous avec le maillot de bain (+la couche de bain pour bébé) chez vous, vous gagnerez en rapidité et en confort à l’arrivée à la piscine.

N’hésitez pas à faire toutes les activités, et si vous avez peur, sollicitez un maître nageur, ils sont là pour ça ! Le but est bien de dégourdir bébé, de l’accompagner pour qu’il soit à l’aise dans l’eau. Utilisez les frites pour le laisser gigoter tout seul, laissez le tomber des matelas pour qu’il passe la tête sous l’eau, etc.

Après les bébés nageurs, prévoyez un moment de calme, car la sieste risque de s’imposer !

La BabyCook de Beaba

babycook1Dans le cadre du début de la diversification de mon bambin, me voilà en train de cuisiner des purées. Je vais donc tester le Babycook Beaba !

La recette du jour est composée du vert de côtes de blette et de pommes de terre (cuites à la vapeur à part). Bien entendu, ce sont des légumes bio !

 

Première étape : la cuisson vapeur

Le bol contient des graduations pour doser l’eau : 2e niveau pour cuire des légumes verts. Je verse l’eau dans la cuve de chauffage, je place mes légumes dans le panier de cuisson, je referme le couvercle, et je mets le bouton de commande sur « cuisson ». J’attends environ 15 minutes, et c’est cuit.

babycook2

Deuxième étape : le mixage

J’enlève le panier de cuisson avec la spatule prévue (évite de se brûler avec la vapeur) et verse directement les légumes dans le bol (je choisis de conserver le bouillon pour alléger la texture de ma purée. Je rajoute mes papates et je mixe. On peut juste mouliner pour avoir de petits morceaux ou mixer plus longtemps pour obtenir une texture lisse.

babycook3

Bilan du test

J’ai trouvé l’utilisation hyper simple et très rapide. J’imagine qu’on peut facilement obtenir le même résultat avec un cuiseur vapeur et un mixeur ou un hachoir, pas la peine d’investir dans un produit supplémentaire. MAIS, là on a un bol et des accessoires de format réduit (adaptés à la taille de la préparation pour un bébé) et donc moins de vaisselle… ce qui est un vrai « + » pour moi ! Autre avantage : le robot prend très peu de place et peut donc rester sur le plan de travail, à côté du chauffe-biberon.

Je vous propose donc ce modèle, dans une couleur sympa :

L’humidificateur avec diffuseur d’huiles essentielles

Et voilà, bébé fait sa première rhinite… Il ronfle, il mouche, ou plutôt JE le mouche… Dans ces cas là, il est conseillé d’augmenter le taux d’humidité dans la chambre de bébé. Une simple casserole d’eau chaude peut éventuellement suffire. Mais je vous laisse imaginer le nombre d’aller-retour entre la cuisine et la chambre de bébé…

J’ai donc profité de la liste de naissance pour acquérir un humidificateur, avec diffuseur d’huile essentielle.

L’appareil semble compliqué à première vue, mais le mode d’emploi est hyper simple, et là encore, on vous met des images plutôt que de longs discours !

humidificateur digital

Il faut aussi prendre le temps de lire le mode d’emploi pour savoir comment régler le seuil d’humidité voulu, ainsi que la minuterie. Pas hyper intuitif au départ, mais très facile à utiliser dès la deuxième fois !

Pour le moment, je n’utilise pas le bac à huile essentielle, car bébé est encore trop petit, mais l’accessoire a l’air très pratique ! Il y a aussi une fonction veilleuse qui illumine le diffuseur en bleu ou en rouge. Pour ma part, je trouve cette fonction un peu inutile, mais pourquoi pas ?

 

Bilan du test

  • Points positifs : très grosse autonomie (un bac = 24h de diffusion pour 60% d’humidité), vapeur froide (pas de risque de brûlure), cheminée orientable (pour ne pas abîmer un tableau ou un meuble), facilité d’utilisation, arrêt automatique lorsque le niveau d’eau est insuffisant (témoin lumineux rouge).
  • Point négatifs : encombrant, il y a toujours quelques gouttes de condensation (prévoir un torchon à proximité), cordon secteur assez court (prévoir une rallonge), lorsque l’on débranche, on perd tous les réglages (dont l’heure).

L’écoute bébé (babyphone)

Dès le retour de la maternité, mon bébé a dormi dans sa propre chambre. J’avais la volonté d’essayer les bonnes habitudes dès le départ, c’est vrai, mais en réalité, le choix s’est imposé à moi.

Chacun sa chambre

J’ai deux chats, qui ont pris l’habitude de dormir avec moi. Je ne me voyais pas les mettre à la porte (miaulements, grattages à la porte, vengeances…) après 6 ans de mauvaises habitudes, mais je n’envisageais pas une seconde de faire dormir mon bébé avec les chats !

Je me suis donc décidée pour un écoute bébé. J’en voulais un performant, car d’une part la porte de la chambre allait être fermée (encore à cause des chats), et d’autre part, car en tant que maman solo, il n’y a que moi pour l’entendre…

Ecoute-bébé Philips AVENT SCD525

Après avoir parcouru les forums, analysé les divers comparatifs, lus et relus les avis de consommateurs, je me suis décidée pour un modèle Philips, que j’ai immédiatement porté sur ma liste de naissance.

Côté bébé

De petit format, l’appareil se place sur le chevet. Le cordon secteur est assez long. On peut très facilement déclencher la mélodie ou allumer la veilleuse, lorsque l’on rend visite à bébé dans sa chambre, grâce aux boutons situés sur le devant.

ecoute-bebe-avent1

Seul petit problème : un témoin de marche vert qui reste allumé constamment… Pratique pour vérifier que l’appareil est bien branché, mais petite loupiote qui empêche d’avoir le noir complet dans la chambre…

Côté maman

Un appareil petit et léger, qui tient dans la main. Sur la photo, il est présenté sur sa base de rechargement. Là encore, deux loupiotes un peu pénibles : un témoin vert qui indique que l’appareil est allumé et qu’il est bien appareillé avec la base présente dans la chambre de bébé (si ce n’est pas le cas, le témoin vire au rouge) + un témoin rouge sur le chargeur qui indique que le courant passe…

ecoute-bebe-avent2

Il y a un indicateur du niveau de batterie et de la température de la chambre de bébé. En cas d’atteinte de 24° (paramétrable), l’appareil clignote et émet un bip de signalement. Dans le menu, on peut activer l’une des 5 berceuses ou la veilleuse à distance. Il y a également une fonction « répondre à bébé » : on appuie sur le côté, comme avec un talkie-walkie et bébé entend la voix rassurante de maman (le temps qu’elle arrive…).

Bilan du test

Points positifs : unité parents ultra compacte et légère, que l’on prend facilement en déplacement, à l’intérieur comme à l’extérieur (accroche ceinture ou cordon de cou), très bonne sensibilité (réglable), indicateur visuel de pleurs (voyants bleus sur le dessus de l’appareil) dans le cas où maman se situe dans un environnement bruyant, pas d’interférences.

Points négatifs : batterie peu autonome (une journée quand même), cher à l’achat (mais investissement largement valable selon moi).

Recommandation : si c’était à refaire, je prendrai la version avec projecteur lumineux ! 🙂

 

Le tire-allaitement : témoignage

On nous donne de plus en plus d’informations sur les bienfaits du lait maternel sur la santé présente et future des bébés, et dès la grossesse, j’avais décidé d’allaiter.

Donner son lait autrement qu’au sein

Mais parfois, décider ne suffit pas et la mise au sein est compliquée… Pour ma part, mon bébé a dès le départ de petits problèmes de succion : petite bouche qu’il n’ouvre pas en grand, réflexe de « tétouille », jaunisse qui le fatigue énormément et l’endort lors de la mise au sein. De mon côté, ça n’est pas mieux : bouts de sein faiblement sortis, difficiles à « attraper », et après une première semaine d’allaitement, des crevasses très étendues et très douloureuses…

Ma sage femme m’a alors prescrit un tire-lait, et en ce moment, je procède à l’expression de mon lait 4 à 5 fois par jour, puis je le conserve au réfrigérateur et je le donne au biberon après l’avoir réchauffé.

Être une mère tire-allaitante

C’est une situation atypique très difficile à vivre : on ne peut s’identifier à aucun groupe, ni mère allaitante, ni mère « moderne ».

Pour moi, le fait de ne pas mettre mon bébé au sein n’est pas un choix, mais une situation que je subis. Je vous livre ici un texte extrait du site de la Leche League, dans lequel je me reconnais.

la-leche-leagueDans la majorité des cas, les mères qui donnent leur lait autrement qu’au sein ne le font pas vraiment par choix, mais parce qu’elles ont connu des difficultés d’allaitement au démarrage, et qu’elles n’ont pas reçu le soutien et l’information nécessaires pour les surmonter. Tirer leur lait pour le donner au bébé leur a semblé sur le moment la meilleure façon de résoudre ces difficultés.

On pourrait être tenté d’essayer de résoudre leur problème d’allaitement, mais ce n’est pas si simple. Ces mères ont eu une expérience de l’allaitement désagréable, voire traumatisante, et elles ont surtout besoin d’acceptation et qu’on reconnaisse tous les efforts qu’elles font pour le bien de leur bébé. Tirer son lait pour le donner au biberon à l’enfant est souvent plus long et difficile que de mettre l’enfant au sein. Or, bien souvent, les efforts de la mère sont peu reconnus par son entourage, qui ne comprend pas qu’elle « s’embête » à ça, alors qu’il serait tellement plus facile d’utiliser un lait tiré d’une boîte…

Lorsque le « tire-allaitement » est un choix fait par la mère, elle peut se sentir jugée par les professionnels de santé, mal acceptée par d’autres mères allaitantes, et ne pas se voir elle-même comme une mère allaitante.

[…]

Cette  perte de la relation d’allaitement, vécue comme un crève-cœur par la mère, sera très souvent considérée par l’entourage comme une broutille en regard des autres problèmes, et la mère ne trouvera probablement aucune oreille attentive prête à l’écouter parler de sa peine. Sa décision de tirer son lait pour le donner à son bébé, afin de « sauver ce qui peut l’être », pourra même, dans certains cas, être considérée avec stupeur, voire avec hostilité. Et son chagrin de ne pas pouvoir avoir une relation d’allaitement « normale » sera généralement totalement incompris.

La mère se retrouve privée de cette relation qu’elle attendait ; elle ne pourra pas vivre les moments de joie et d’apaisement que sont les tétées, consoler facilement son enfant en le mettant au sein… Si, en outre, elle ne peut même pas faire part à d’autres personnes de sa peine par crainte de subir reproches ou moqueries, cela sera encore plus difficile à vivre.

Dans notre société où l’allaitement est encore peu valorisé, et où le lait industriel est considéré comme à peu près aussi bon que le lait maternel, les femmes qui décident d’allaiter pendant plus de quelques mois doivent souvent affronter une pression sociale les poussant à sevrer leur enfant. Cette pression sera encore plus importante sur une mère qui décide de tirer son lait, et d’autant plus si elle le fait longtemps.

Au lieu d’être félicitée et soutenue pour son souhait de donner à son enfant l’aliment de premier choix, elle s’entendra très souvent reprocher d’investir tant de temps et d’énergie à tirer son lait alors qu’il « serait tellement plus simple et tout aussi bien de donner un lait industriel ».

— Allaiter aujourd’hui n° 66, LLL France, 2006

Mon expérience

Des douleurs, des efforts, des contraintes, des larmes, des découragements, mais avant tout l’envie de faire ce qu’il y a de mieux pour son enfant.  Ce n’est pas l’allaitement dont j’avais rêvé, c’est très contraignant et fatiguant (tirer son lait en plus des tétées, faire la vaisselle, …) et c’est une situation que j’ai vécue comme un échec pendant un moment…

Mais j’ai du lait ! Même s’il est complété, il a quand même du lait maternel. Je fais de mon mieux, avec mes moyens, et il est clair qu’être maman solo dans cette situation ne m’a pas aidée : pas de soutien psychologique, pas de relais donc moins de sommeil, …

Tout a commencé à aller mieux lorsque j’ai lâché prise sur la mise au sein et renoncé à l’allaitement direct : à chaque tétée, j’appréhendais l’échec, je me crispais, mon bébé s’énervait et pleurait, bref, une mauvaise expérience, un échec à chaque fois, un moment difficile à vivre… J’ai repris mon courage à deux mains pour le tire-allaitement : au moins, ça fonctionnait, et je retrouvais là une dynamique d’énergie positive.

Ma sage femme m’a prescrit de l’homéopathie pour lutter contre le baby blues et les crevasses, ainsi que des téterelles plus larges (après 2 semaines de tire-lait, mes bouts de seins sont enfin sortis…). J’ai acheté de la tisane d’allaitement, de l’Ovomaltine et de la bière sans alcool. Je ne saurais dire si c’est « réellement » efficace, mais si ça ne l’est pas, ça ne peut pas faire de mal… En tout cas, après 10 mois de privation sur l’apéro, boire une bière, même sans alcool, a été pour moi comme un retour à la vie, et un moment de pur plaisir qui a certainement un effet positif sur le moral !

Aujourd’hui, je tire assez pour ne donner que mon lait à mon bébé. Je ne sais pas combien de temps cela pourra durer, à chaque jour suffit sa peine… mais tout ce qui est pris, est pris ! Lâcher prise sur la mise au sein n’a pas été une chose facile, mais finalement ça a été très libérateur psychologiquement. Et j’ai appris à envisager les côtés positifs de la situation : je peux confier mon bébé à sa grand mère, par exemple, qui est toute heureuse de lui donner le biberon, et qui me trouve très courageuse, puisqu’elle n’avait pas pu m’allaiter. Je tire mon lait en 15 minutes environ, alors qu’une tétée dure parfois près d’une heure ! et ce week-end, tandis que mamie nourrissait le bébé, maman en a profité pour faire autre chose : une bonne douche réparatrice avec quelques soins corporels, un brin de ménage et de rangement, etc. Un véritable luxe quand on est une maman solo !!

Je continue sur ma lancée des points positifs :

  • Je sais parfaitement combien boit mon bébé, chaque jour. Pas besoin de le peser ou de scruter les couches (de toute façon, je le fais quand même 🙂 ), il me suffit de constater ce qu’il boit. Un bon avantage pour les mamans stressées.
  • Je gagne du temps aussi : dès le départ, mon bébé prenait un biberon toutes les 3 heures. A un mois, j’avais retrouvé un peu de temps de sommeil et le rythme était le suivant : bain et biberon à 20h30, puis à 2 ou 3h du matin, puis à 6 ou 7h. Ensuite, la journée, il buvait toutes les 3 heures. En comparaison, les tétées au sein ont lieu toutes les 2 ou 3 heures pendant 2 ou 3 mois (témoignage de ma belle-sœur).
  • Puisque je tire, je vais jusqu’au bout du lait disponible et mon bébé boit systématiquement le fameux lait plus gras, disponible en fin de tétée, et qui évite les coliques et les selles vertes (source LLL).

En savoir plus : comment j’ai soigné mes crevasses, quel tire-lait j’utilise.


J’édite mon article afin de compléter mon témoignage et continuer à vous apporter des éléments positifs ! 🙂

A l’âge d’un mois et demi, mon bébé fait ses nuits ! Il dort de 22h à 6h, et ne boit plus que 5 biberons (120-150 ml) dans la journée. Pour ma part, je tire mon lait 4 fois par jour et je peux congeler environ 200 ml chaque jour. En résumé, je gagne en confort et en organisation, et mon bébé se développe bien. Finalement, une expérience très positive !


Suite et fin de mon tire-allaitement…

Lorsque mon bébé est passé à 4 biberons par jour, j’ai diminué le tirage à 3 fois par jour, puis au bout d’un mois à 2 fois par jour. Ce temps de « traite » devenait de plus en plus lourd à assumer psychologiquement, sans compter le temps à y consacrer…

A mi-chemin, sur les conseils de ma sage-femme, j’ai changé le modèle de mon tire-lait : quel confort immédiat ! Aussi, pour les mamans qui choisiraient de se lancer dans un tire-allaitement, je vous conseille de porter la plus grande attention au choix du modèle. Pour moi, c’en était fini des engorgements et autres douleurs !

J’ai donc choisi de sevrer mon bébé en douceur : à 4 mois et 1 semaine, j’ai introduit un biberon de lait de chèvre pendant 10 jours, puis un 2e biberon de lait artificiel encore pendant 10 jours. A presque 5 mois, il n’avait donc plus qu’un biberon de lait maternel le matin, et 3 biberons de lait de chèvre. J’ai arrêté l’expression du lait maternel à 5 mois et 1 semaine. Avec le stock de lait congelé, je sais qu’il aura encore du lait maternel jusqu’à ses 6 mois minimum.

A 5 mois et 1 semaine, nous avons également commencé la diversification (carotte, banane) avec quelques cuillères avant la tétée. Il était demandeur et cela lui plait beaucoup !

Malgré l’effort physique et psychologique que m’a demandé le tire-allaitement, le bilan que j’en tire est plus que positif. Mon bébé est en haut des courbes de croissance de taille et de poids, il est très éveillé et loin d’être en retard en termes de développement psychomoteur ! 🙂

Calmosine : boisson apaisante pour la digestion

Mon bébé souffre parfois lors de la digestion : il se tortille, pleurniche, émet des gaz… dur dur d’assister à ça en étant totalement impuissante…

Ma sage-femme m’a conseillé une boisson apaisante pour la digestion : Calmosine.

Composition

CALMOSINE digestion est un complément alimentaire d’origine naturelle et doux, à visée familiale, composé d’extraits aqueux de 3 plantes (fenouil, tilleul et fleur d’oranger).

Trois plantes de la Calmosine

  • Le fenouil est une plante de la famille des ombellifères utilisée depuis des siècles avant les repas pour assurer une digestion calme et agréable. En effet, le fenouil favorise la mobilité et les sécrétions gastriques. Il contribue aussi à soulager les douleurs digestives.
  • Les fleurs de tilleul sont consommées traditionnellement en infusion. Le Tilleul est connu pour ses vertus calmantes et apaisantes, notamment au niveau digestif.
  • Les fleurs d’oranger sont le plus souvent consommées sous la forme de tisane (infusion). Les fleurs d’oranger ont un goût apprécié de tous et apportent beaucoup de douceur. Les vertus sédatives des précieuses fleurs sont unanimement reconnues, tout comme leur faculté à calmer l’anxiété ou les petits maux de ventre des nourrissons.

CALMOSINE existe depuis bientôt 20 ans. Ce complément alimentaire mis sur le marché en 1996 a été développé à la demande d’un pédiatre qui souhaitait pouvoir conseiller un produit naturel aux familles en cas de troubles digestifs.

(Extraits du site de la marque Laudavie)

Administration

calmosineLa posologie conseillée est de 5 ml avant chaque repas, avec un maximum de 6 prises par jour. Ma sage femme m’a conseillé de le donner au moment où bébé a mal au ventre, quitte à donner 10 ml en une seule prise.

J’ai testé les deux modes d’administration : avant les biberons de lait artificiel, de manière systématique, car il est moins digeste que le lait maternel, et lors de grosses crises de douleur en dehors des biberons. Toutefois, il ne faut jamais dépasser les 30 ml par journée !

Pour donner la boisson à bébé, il suffit de pré-doser la Calmosine avec le verre doseur puis de verser dans la tétine directement.

Bilan du test

  • Points positifs :  assez efficace pour soulager les douleurs digestives de bébé, même si ce n’est pas à 100%, apaise et calme comme un traitement de fond, bon goût (mon bébé le prend sans problème), produit naturel, disponible en dosettes pour le côté pratique.
  • Point négatif : pas d’efficacité instantanée quand bébé fait une crise… et très très cher ! environ 12 euros le flacon de 100 ml (soit pour 4 jours d’utilisation !!)

L’achat en ligne sur Allo Bébé

Une fois n’est pas coutume, je me lance dans la rédaction d’un article légèrement désabusée…

AlloBebe-logoUne partie de ma liste de naissance était à commander sur le site Allo Bébé. Plusieurs commandes (essentiellement de petits articles comme des draps ou des bavoirs) se sont passées sans encombres. Et pourtant, deux autres expériences m’ont un peu « chiffonnée ».

Augmentation de prix

J’avais choisi un humidificateur sur ce site, il était moins cher qu’ailleurs, et la livraison était gratuite, que des bons plans !

Seulement, et cela arrive souvent, entre le moment de la création de la liste de naissance et la commande réelle de l’article, il peut s’écouler plusieurs semaines… Ici, 2 mois plus tard, alors que nous étions en période de soldes, mon amie se décide à passer commande, espérant profiter éventuellement d’une réduction.

Quelle ne fut pas ma surprise : le prix bénéficiait bien de -20%, mais il avait auparavant augmenté de 20% ! Je n’ai malheureusement pas de capture d’écran pour appuyer mes dire, sachez toutefois que j’ai contacté le site pour faire part de mon mécontentement, et qu’on m’a dit que j’avais probablement vu le prix précédent pendant une autre période promotionnelle.

Sachant qu’une période promotionnelle a forcément une date de fin, quelle était la probabilité que je mette ce prix sur ma liste de naissance alors que je savais pertinemment que mon entourage ne commanderait pas immédiatement ?

Sachant que le même produit était disponible sur Amazon, au même prix à quelques euros près, avec la livraison gratuite, quelle était la probabilité que je choisisse le site le plus cher de 20% ?

Personne n’est à l’abri d’une erreur, je vous laisse juger par vous-mêmes… Mais ma copine a depuis commandé sur Amazon !

Délai de livraison allongé

Deuxième expérience mitigée : la commande du matelas.

  • 17/02 : commande validée (+ compte débité !)
  • 26/02 : information concernant l’indisponibilité du matelas, toute la commande est mise en attente, livraison mi-mars (!)
  • 27/02 matin : coup de fil au service client (personne très aimable mais qui ne peut que confirmer le mail)
  • 27/02 après-midi : nouveau mail disant « votre commande est en cours de préparation » (???)

Je ne suis pas un as de la logistique mais en gros… un matelas disponible est devenu non disponible 9 jours après, il fallait attendre 18 jours de plus pour l’avoir, mais suite à un coup de fil, le matelas est maintenant disponible… 😯 j’ai du mal à suivre, et quand c’est pas clair, j’aime pas.

Bilan des commandes sur Allo Bébé :

  • Points positifs : beaucoup de choix sur le site, prix bien placés, petits articles livrés sans problème, hot line joignable en France
  • Points négatifs : deux expériences de manque de transparence (une fois sur le prix, une fois sur les délais) qui donnent un grand coup de canif dans la confiance que j’ai pour ce site…

La liste de naissance

Je n’aimais pas trop l’idée d’une liste de naissance au départ, cela me donnais l’impression de réclamer des cadeaux… Et puis, j’ai pris conscience que beaucoup de monde de mon entourage avait envie de participer, alors je me suis décidée : autant avoir des cadeaux dont j’ai vraiment besoin !

J’ai opté pour une liste sur internet : Mes Envies. J’ai ensuite passé de nombreuses heures de navigation sur internet pour comparer / choisir les meilleurs articles. Mes critères de choix : un produit naturel / bio et éthique, le moins cher possible. Certaines marques m’ont été recommandée par la sage-femme lors des cours de préparation.

Bilan du test :

  • Points positifs : pratique (pas besoin de courir les magasins, internet est ouvert 24h/24, 7j/7), facile à créer si on a l’habitude d’internet, simple à diffuser à la famille ou aux amis même éloignés, liste qui correspond plus à mes critères de choix qu’un magasin (notamment pour les prix !!), livraison à domicile
  • Points négatifs : certaines personnes ont encore du mal avec le e-commerce…
  • Astuce : plusieurs sites proposent ds frais de port gratuits pour livraison en point relais ou au bureau de poste local, des économies supplémentaires ! 🙂

Enfin, si vous trouvez trop fastidieux de choisir plusieurs sites pour vos articles, voici un site spécialisé dans la vente de produits pour bébé, maman et puériculture qui propose la création de liste de naissance également !